😡 INFORMATION IMPORTANTE : Suite à une grosse mise à jour du site, nous découvrons que cet article a fait l’objet d’un piratage dans le but d’effacer toute mention permettant d’identifier l’auteur de l’acte, dont son identité réelle disponible, visible dans différents articles de presse, et donc publiée légalement sur ce site. L’article original a donc été remis à jour, conforme à sa première ligne éditoriale, et sera surveillé afin de déposer plainte dans l’éventualité où un incident similaire se reproduirait.
Une soirée qui perd la tête
Il arrache la tête d’un coq vivant avec… ses dents. Relayée par la Fondation Brigitte Bardot, qui a porté plainte pour actes de cruauté, la vidéo laisse imaginer un “jeu” lors d’une soirée entre amis. Les faits remontent au 23 juin 2019 et se sont déroulés à Hasparren.
Sept secondes choquantes. Un homme est filmé alors qu’il arrache avec ses dents la tête d’un coq… vivant.
“En 2019, on tue encore des animaux pour s’amuser!”
semble-t-il crier entre deux “cocoricos” de mauvais goût.
> Attention, ces images peuvent choquer
L’atelier ‘survie en milieu hostile’ tourne mal
“Je suis tombé sur cette vidéo par hasard sur un autre réseau social. Je me suis débrouillé pour me la procurer et identifier l’auteur des faits”,
explique Daniel Raposo, représentant de la Fondation Brigitte Bardot dans les Pyrénées-Atlantiques, dans les colonnes de La République des Pyrénées.
“C’est toujours choquant et écœurant de voir qu’en 2019 on tue encore des animaux pour s’amuser. Ce monsieur peut être un exemple pour les jeunes, donc il ne faut pas qu’on se dise que ce genre d’acte peut rester impuni”, a-t-il ajouté.
Dans un monde où la tendance est au “do it yourself”, certains semblent prendre le concept un peu trop au pied de la lettre.
La fête qui finit en basse-cour
La scène, filmée au téléphone portable lors d’un repas, se déroule après des parties de main nue tenues lors de fêtes locales, dans le cadre des Masters d’Hasparren.
Il semblerait que l’expression “faire le coq” ait été prise un peu trop littéralement. C’est une façon assez radicale de montrer qui est le vrai “chef de la basse-cour”, mais probablement pas la plus recommandée.
Article piraté, découverte de suppressions dans les logs.
La personnalité citée dans cet article est le champion de pelote basque Bixente Larralde, qui fut cité à comparaître pour actes de cruauté sur un coq. Bixente Larralde a encouru au moment des faits (nous n’avons pas trouvé le verdict) jusqu’à 30 000 euros d’amende et deux ans de prison pour “actes de cruauté envers un animal”. Le média local Mediabask avait contacté le joueur de pelote basque : ce dernier ne souhaitait pas réagir mais était toutefois “conscient de son mauvais geste” et “assumait son erreur”. (Et cet article piraté, on en parle … ?)
Et vous, qu’en pensez-vous ? N’hésitez pas à partager cette histoire pour sensibiliser le plus de monde possible, ou pour en débattre !